20 ans de danse contemporaine au Fresnoy

Samedi 9 et dimanche 10 novembre

La danse contemporaine s’invite le temps d’un week-end dans l’exposition Panorama 21 – Les revenants.

Tarif unique de 5 € le samedi 9 novembre.
Gratuit le dimanche 10 novembre.
Bar et petite restauration tout au long de l’événement le 9 novembre.

Samedi 9 novembre

De 14h à 22h

A#3 MOTU, danse interactive VR/Room Scale/7 mn de Gwendaline Bachini.
Une expérience chorégraphique et musicale en réalité virtuelle inspirée des recherches du biologiste Pierre-Henri Gouyon.

18h et 20h

Chambre 209 de Sylvain Groud et Jonathan Loppin.
Performance plastique et numérique née de l’immersion des artistes au sein d’une unité de retraite médicalisée, cette installation chorégraphique est une invitation lancée au public pour une déambulation sensible dans une chambre évolutive du plasticien Jonathan Luppin.

19h

L’ombre d'un soir
Daniel Dobbels. Performance. Chorégraphie interprétée par Carole Quettier sur La Nuit Transfigurée d’Arnold Schönberg. « L’ombre du soir ne pèse rien. Elle se place, étroite, étirée, mince comme un fil que l’existence ne peut suivre que par égard, là, entre les masses évidées, que les rêves ont désertées. Ne rien écraser en ce passage limité, dans le temps, dans l’espace ».Daniel Dobbels

20h30 – 22h

Projections de films
Jour de silence de Alain Fleischer
Tact de Thibaud Le Maguer
21 études à danser de Thierry De Mey

22h

Georges
Mylène Benoit. Une rencontre entre Julika Mayer, performeuse et marionnettiste et Mylène Benoit, artiste plasticienne et chorégraphe. Georges est une étude plastique et performative impliquant six marionnettes, créée en 2018 dans le cadre des Sujets à Vif au Festival d’Avignon, qui met en jeu des « histoires de morts ».

Dimanche 10 novembre

De 14h à 19h

A#3 MOTU de Gwendaline Bachini.
Une expérience chorégraphique et musicale en réalité virtuelle inspirée des recherches du biologiste Pierre-Henri Gouyon.

16h et 17h30

Chambre 209 de Sylvain Groud et Jonathan Loppin.
Performance plastique et numérique née de l’immersion des artistes au sein d’une unité de retraite médicalisée, cette installation chorégraphique est une invitation lancée au public pour une déambulation sensible dans une chambre évolutive du plasticien Jonathan Luppin.